LA BIZARRIE HISPANIQUE O LE PHÉNOMÈNE COURAGEUSE

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Je m´apelle Enrique. Je suis “Botijo” d´Or et Béret d´Honor pour le tour plus vite dans le dernier Grande Prix d´Alcocer de Karting. J´ai eu besoin de trente et un ans pour l´achever mais j´y suis arrivé. Je pais montrer un trophée bizarre dans mon inexistente vitrrine . Je regarde la bizarrie comme une terre promise, comme l´exigeant paradis des Témoins de Jéhova, quelque chose plus grande que le Nou Camp, le stadium du FC Barcelone - ¿Que-est ce que c´est cela comparé avec l´histoire humaine? Peux plus qu´un club -, auquel tous ceux qui delinquent contre la Loi des Grandes Numeros sont appellés.

J´aimairais trouver une liaison, dans cet espace, entre le sens que le mot bizarre a dans l´espagnol (travailleux, et après, comme deuxieme sens, genereux, lucide, splendide) avec le sens que le mot a dans le domain du français et du anglais (très étrange, rare, anormal).

Cela veut dire, que je crois que le “bizarro” est une phenomène, une rareté, oui, mais une phenomène corageuse (caracteristiques qui sont simbolisées et materialisées dans mon “botijo d´or”, sans réserve)

Notez que selon cette significance, le bizarro est plus qu´un freak et qu´un objet bizarro es plus qu´un object kitsch puis que la sublime qualité de la bizarrie est trouvée par la courageuse attitude qui aie le sujet en question. De l´autre côté, la qualité du freak ou kitsch depende du regarde de l´observateur, pendant que la bizarrie est subjective et est née chez chaqu´un vers le monde. Elle est intentionelle et ne peut pas être mis en question toujours qu´elle est experimentée. Le bizarro est un minorité inmense.
Le “bizarro sin interrupción” (ce qu´on peut appeler le “bizarre sans arrête”) es conscient de ses limitations, mais, loin d´être decoragué par cela, il s´est que celles sont des medalles pour son vêtement. Il sait qu´il lutte contre la pluspart que silenceusement presse dans une seule et obstiné direction, voulant faire une virtue du fait d´être parte du bétail, de chercher la reconaissance parmi les autres. Au contraire, chaque bizarro doit
tailler la pière avec rire, pleure et feu le chemin qu´il, et seulement il, suive. Pas du terrains verts, pas d´eau claire, seulement la promesse que peut-être un jour (oh, paradis) il pourra trouver quelque endroit où personne n´aille étée avant.

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