jeudi 10 avril 2008

LE PODIUM BIZARRE: BOTIJO DE BRONZE

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Il est un poète que fabrique ses rimes à la vitesse de son veícolo longo. Je coincide avec lui dans nos inhospites êtés dans l´Alcarria, êtés bizarres que dorent l´âme et macerent la foie. Ou maceraient. Ces temps qui sont passés....je m´en souviens pas.

Le Grande Prix d ´Alcocer de Karting, est née en Aôut sous un soleil impotiyable, qui tombait sous le bizarre circuit de Cabanillas del Campo, très près de Guadalajara, Espagne.

Le adjectif était originé par ses interminables 13 tours, quelques parmi elles fermées, d´autres très femées, la création de quelqun suifisament bizarre pour ne pas percevoir, comme toute logique dit, amour pour les propes côtelettes, les propes dents ( la force centrifuge fait le siège et les cotêlettes s´aproximer comme seulement les amants sauvages font, fuillant jalouse la viande qui normalment est entre eux, faisant au choffeur une doleur importante qui reste trois semaines).

Dans cet situation, le mec me dit “Tu y penses? On en serames pas capables” et de ce moment en avant il était déjà trop tard. Don Victor (Monsieur Guindo, si vous le preferez) -il ni a une seule personne jamais en cet catolique pays, toujours on a besoin d´une trinité- quand on lui a démandé son opinion il nous a donné son assentiment, et le 25 decembre la criature est née- le père et le fils étaient la, le saint -esprit était déjà à Buenos Aires (ou peut être pas de bons, mais de meilleurs)


Osuli - il s´apelle comme ça - eu la grande et bizarre idée des botijos d´or, d´argent et de bronze, et même du béret d´honor au tour plus vite et de donner une tortue (“la tortuga fisikela que ni corre ni vuela”) pour le pire classifié.

Il est un artiste. Un buveur des bons ante merididan, que bu une goutte avant la couche du soleil, ce que lui donne un air de vampire que toujour m´a étonné. Si tot que l´astre est tombé, le bizarro, mitié étain, mitié malachite. Montre son sansfin de partitures et idées devant les boteilles de Dyc autour desquels ses camarades se reunent. Et là il commence avec ses blagues et plaisanteries que avec le temps on lui a fait devenir la memoire vif de des amis. Mes chaque années il y a moins de personnes, moins de boteilles, au temps que la session devient de plus en plus bizarre.

Pour finir, et comme preuve de son bizarrie, j

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1 commentaire:

Anonyme a dit...

You write very well.